2018 deuxième semaine

Ecole Joachim Faudet à Joal : Réunion de chantier avec Etienne le CGE  et Oumar Diong ,le directeur de l’école .

L’école située juste à côté de l’Ile de Fadiouth est constituée de 14 classes et compte 750 enfants.

Nous avons effectué un tour complet pour définir la priorité des travaux : portes et fenêtres dégradées, murs délabrés, toits fissurés voir ajourés et le clou des toilettes dans un état indescriptible.

Conclusion de la réunion : Vu l’ampleur des travaux, pour la direction la priorité est de sécuriser les locaux ce qui implique de changer toutes les fenêtres et les portes.

Pour limiter le budget les travaux dans les 3 premières classes ne sont pas retenus.

L’équipe en charge de travaux va rencontrer les artisans pour élaborer les devis ; trois postes de travaux sont définis par ordre de priorité : le toit d’une classe, le portail d’entrée et la peinture d’une classe . Remise en état 36 tables

Ecole Ndoffane :  rencontre avec l’équipe pédagogique et Félix Diouf ,le directeur et avec le nouveau CGE qui est également le représentant des parents d’élèves ,.ainsi que trois personnes venues de l’équipe de MBour

Visite du jardin pédagogique avec Abdoulaye Sène puis des classes de Khadi et Nabou : deux poteaux en ciment seront faits pour fixer la porte du jardin.

La remise en état d’une classe est décidé + le sol de la maternelle et du CE1.Travaux réalisés en partie par Kan.

L’école a participé et a été primée au Concours des Ecoles fleuries à Dijon, organisé par la DDEN (délégués départementaux de l’éducation nationale) et l’OCCE (Office central de coopération à l’école).

C’est la première fois qu’un village Africain a obtenu cette récompense.

L’après-midi, un groupe a nettoyé puis peint les volets métalliques et encadrements de la classe de CE1  et réparé les tables défectueuses.

Ecole de Ndianda : Prise de contact avec la responsable des parrainages Kangoo pour pouvoir rencontrer les enfants concernés avec leurs parents si c’est possible .

Concernant le crédit laissé pour l’eau du jardin, 20 000 cfa seulement ont été consommés, le solde, 30 000 cfa seront pour 2018.

Ecole de Ndoffane : L’ensemble de l’équipe est allé à Ndoffane, un groupe a

Les plus qualifiés ont effectué la mise en route de l’ordinateur affecté à l’école.

En fin de matinée, trois personnes sont allés à l’école de Ndianda pour effectuer la remise des cadeaux aux filleuls avec prise de photos pour les parrains.

 

Ecole de  Fadial :  un arrêt à l’école maternelle Médina Fadial, c’est une première visite, la monitrice Seynabou est très dynamique (elle parle aux enfants dans les 3 langues),

Le local est minuscule avec 47 élèves de 3 à 5 ans, peu de matériel, elle demande 6 chaises une table pliante des ardoises et des craies.

Le coût pour les parents est de 1000 F par mois par enfant (seuls 30 enfants cotisent)

Puis arrêt à l’école primaire :

Lancement des parrainages d’aide à la scolarisation à l’école primaire et maternelle : l’objectif est de parrainer 8 enfants.

Une réunion de présentation des critères a été faite au référent de l’école M. Sow, instituteur, qui devra gérer l’argent qu’il reçoit de l’association.

L’équipe pédagogique avait déjà sélectionné 5 enfants, la documentation (fiche de renseignement, bulletin de naissance, contrat d’engagement) a été remise au référent.

il n’y a pas de cantine sur place.

Réunion entre le trésorier, Louis , le président du CGE et Malick, le directeur , en plus des peintures, seront pris en charge l’eau vers les WC et l’électrification de deux classes et des WC.

Puis nous avons peint une première couche à la chaux sur les WC des enseignants.

Un groupe s’est rendu à Bagana Sérère pour rencontrer le maçon qui va construire la case de maternelle, un devis a été analysé le soir.

.Les chantiers se mettent en place dans les quartiers défavorisés de Mbour :

Les rencontres avec les directeurs et responsable des CGE sont intéressantes et chaleureuses.

Ecole Gouye Mourid :   Prise des mesures pour la clôture, pour le portillon et plan des toilettes : on garde l’existant et on ajoute 2 WC.

Ecole de Toucouleur :  Mise en place d’un jardin pédagogique, aménagement d’un local existant pour la cantine scolaire. Les métrages et commandes des matériaux sont faits pour que les travaux soient réalisés avant la fin de notre mission.

Ecole Liberty 2 : Rénovation de 2 classes (sols et murs) et retouches dans une classe rénovée l’année passée dont le toit a été arraché pendant la saison des pluies. Approfondissement du puits du jardin pédagogique qui fonctionne très bien grâce à une forte implication du président du CGE ainsi que celle des enfants.

Un premier bilan de cultures approfondi pourra donc être proposé à kokopelli, notre fournisseur de semences biologiques

Contacts repris avec les groupements de femmes de Ndoffane, de Ndianda et Fadial.

A Ndoffane le marché des «  vieilles »marche très bien : elles nous remboursent 150 000 CFA mais en demande 500 000 CFA pour agrandir le marché et acheter en gros. Les autres ateliers n’ont pas tourné et ne peuvent rembourser mais demandent un ajournement de leur dette ; une nouvelle femme souhaite se lancer dans le maraichage avec 10 autres femmes.

A Ndianda l’organisation est très dynamique et leur G I E fonctionne, elles remboursent les 30 000 CFA prévus et G A S leur accorde un prêt de 100 000 CFA pour développer leurs activités.

A Fadial, elles ne peuvent pas nous rembourser leur récolte ayant été détruite ; la mairie de Nguégniène leur a alloué un terrain d’un hectare, une association spécialisée dans l’agroforesterie leur fournit puits, plants et graines nous leur offrons des bottes (à leur demande)

Nouveau village de Diorhar

Contact est pris avec deux groupements de chacun 20 femmes : une activité teinture de tissu est accordée à l’un des groupes et un atelier de transformation de céréales sera attribué au deuxième groupe

A Mbour l’atelier confiture fonctionne ainsi que les moulins, mais à cause de tous les problèmes d’installation leur travail n’a effectivement commencé qu’en novembre, le remboursement est repoussé d’autant.

Dans les jardins pédagogiques de Ndoffane et Foua 1 : l’engagement des équipes éducatives et des responsables a permis aux écoles d’engranger quelques bénéfices pour les cantines ; à Foua 1 les parents cultivent une parcelle du jardin, fournissent des plants et partagent leur bénéfice avec l’école.

NIANIAR

L’équipe de « Nianiar « découvre une nouvelle école, Diorhar, de 10 classes plus ou moins délabrées : toitures à consolider, sols à refaire, murs et tableaux à repeindre, tables à réparer, jardin pédagogique à créer.

Avec le directeur nous évaluons les priorités en fonction de notre budget et nous nous attelons à la tâche : une classe dont le sol est correct sera repeinte

Tous les tableaux seront peints et d’autres crées au fond de la classe, les tables réparées et le jardin pédagogique clôturé. Toutes ces actions sont menées avec beaucoup d’enthousiasme et la collaboration des enseignants et de notre ami chauffeur. A Sarène le sol d’une classe qui doit accueillir un nouvel enseignant, sera à refaire.

Quant à Nianiar le chainage du mur d’enceinte sera terminé et la construction d’un abri cantine et d’un poulailler est actée et validée.

Les 3 directeurs nous demandent de redémarrer les cantines ; ce sera fait.

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